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Actuellement, beaucoup trop d’animaux de compagnie sont abandonnés.

Depuis 2007, la situation est rapportée au grand jour par les médias.

  • ...certains sont abandonnés en pleine nature, pour la plupart non-stérilisés et se reproduisant à outrance, ce qui entraine des "nuisances" pour la population locale et le problème de surpopulation. Sachez que l’abandon d’un animal est, au sens de la loi fédérale, considéré comme de la cruauté animale.
  • ...certains dans des refuges, mais ces derniers débordent et refusent bien souvent les animaux. Le Québec ne dispose d'aucune législation régissant les normes de fonctionnement des refuges et des fourrières. Toutefois, ces lieux ont pour mandat de se conformer à la Loi P-42 du Québec concernant la protection sanitaire des animaux.

• ...au pire, ils aboutissent dans des fourrières avec lesquelles les villes ont des ententes où de nombreuses irrégularités, voire des cas de cruauté, y ont été relevés.  Ce sont des entreprises dont le but est de faire de l’argent au détriment des animaux et des gardiens de ces derniers. Actuellement, plusieurs établissements n'ont pas de site internet mis à jour permettant de répertorier les animaux trouvés ou encore ceux disponibles pour adoption. Et de fait, plusieurs ne font pas l'effort de retrouver le gardien de l'animal même si ce dernier porte un mode d'identification (médaille, micropuce ou autre). Enfin, la plupart des animaux mis en vente le sont sans être stérilisés avant leur départ, ce qui ne fait qu'accroître la surpopulation animale.


Cette surpopulation entraîne malheureusement la "mise à mort" injustifiée de milliers d’animaux et le service donné par les "fourrières" génère des coûts de plus en plus élevés aux municipalités et aux citoyens. Ces modèles d'affaires ne seront jamais la solution au problème de fond!

Currently, too many animals are abandoned.

Since 2007, this situation as been highlighted by the media.

  • ... some are abandoned in nature, most not sterilized, which leads to "excessive breeding" and overcrowding creating a nuisance for local population. Abandoning an animal is considered animal cruelty by Federal Laws.
  • ...some are brought to shelters, who must refuse animals because they are overflowing. Quebec has no operational standard legislation for shelters and pounds. However, these places are mandated to comply with Quebec Act P-42 regarding the animal welfare.

• .for the worst, they end up in pounds who have agreements with municipalities, where many irregularities or instances of cruelty have been identified. These are companies whose goals are to make money at the expense of animals and their guardians. Currently, several institutions have no updated website to list the animals found or those available for adoption. And, in fact, many do not make the effort to find the keeper of the animal even if it has a form of identification (tag, microchip or other). Finally, most of the animals are sold without being sterilized prior to their departure, which increases the pet overpopulation.


This overpopulation leads to unjustified "killing" of thousands of animals and this service provided by "pounds" generates higher and higher costs to municipalities and citizens. These operational ways will never be the solution to the underlying problem!

Derrière chaque animal qui meurt dans une fourrière ou refuge, se cache un humain responsable de ce fait.

For every animal that dies in a shelter there is a human somewhere responsible​.

- Lynne Strasser -

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